Correction possible:

 

1)Au cours du XX ème siècle, la population mondiale a triplé alors que dans le même temps les besoins en eau étaient multipliés par 6.

2)Les réserves d'eau douce servent aux besoins économiques (agriculture, industrie, services) et aux besoins domestiques quotidiens.

3)

-1 homme sur 5 ne dispose pas d'eau potable dans le monde.

-2/5 n'ont pas accès à de bonnes conditions sanitaires.

-2 millions de terriens surtout des enfants meurent chaque année car ils n'ont pas accès à l'eau potable.

-2/ 3 des humains, d'ici 2025, pourraient selon l' O.N.U. souffrir de pénuries d'eau douce.

4) Les membres de l'U.E. ont pris conscience du problème de la pollution des eaux.

5)La mise en place d'une réglementation a pour objectif la réduction de la pollution industrielle, le traitement des eaux usées, empêcher la contamination des eaux souterraines et de surface ainsi que la préservation de la bonne qualité des eaux de baignade.

6) Pour l'U.E., il convient de mettre en place une gestion par bassin fluvial c'est-à-dire une zone géographique drainée par un fleuve et par ses affluents. Gérer l'eau sous ses différents aspects avec tous les acteurs concernés (agriculteurs, industriels, consommateurs… ).

7) 8) A cet égard, le Rhin est exemplaire car son bassin couvre 5 pays (France, Allemagne, Suisse, Pays-Bas plus le Luxembourg avec la Moselle, affluent du Rhin).

9)Le problème de l'eau se pose aussi en ex-U.R.S.S., en Europe Centrale et en Afrique.

10)11) L'U.E. apporte une aide financière avec 1, 5 milliard d'euros pour financer des projets d'accès à l'eau potable et pour améliorer les conditions sanitaires. Elle désire aussi inciter les dirigeants de ces Etats à gérer les problèmes de l'eau par bassin fluvial.

12)Pour l'Afrique, certains espaces ne manquent pas d'eau mais elle est mal répartie ou elle pose des problèmes de qualité. Pour l'Europe, il conviendrait de créer une meilleure collaboration internationale (60 cours d'eau sont frontaliers en Afrique) afin d'impliquer tous les acteurs. Un dialogue pourrait permettre aussi de régler certains conflits qui ont pour source la question de l'eau.

Pour les Européens cette démarche serait plus efficace qu'une augmentation des aides.