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          Durant la guerre, de nombreuses familles prenaient le risque de sauver un ou plusieurs enfants juifs afin de leur éviter la déportation. Elles accomplissaient donc des mouvements de résistance. Au contraire, d’autres personnes les accueillaient dans l’unique but de recevoir de l’argent. Malheureusement, certaines familles maltraitaient les enfants en les frappant ou en leur faisant subir des scènes atroces et inhumaines (Hélène). La plus grande majorité des enfants étaient sans cesse perturbés par les changements. La peur était présente, quelle que soit son importance. Certains pensaient qu’ils ne se souviendraient pas de tous les mensonges qu’ils auraient pu dire auparavant (Franca), d’autres étaient terrorisés à l’idée que quelqu’un puisse les dénoncer. Dans ces cas-là, les enfants étaient confrontés à des troubles psychosomatiques, en particulier les plus jeunes. De plus, la nuit était souvent un des plus mauvais moment à passer (Maurice). En effet, toutes ces nombreuses heures de calme, de silence, étaient parfois plus angoissantes que durant la journée. Les cauchemars étaient essentiellement basés sur les horreurs de la guerre. En revanche, des enfants furent accueillis dans des familles qui leur donnaient tout l’amour qu’ils méritaient. Ils étaient considérés comme leurs véritables enfants. En conséquent, ils vivaient heureux et étaient protégés des événements et des interdictions qui étaient portés à leurs égards (Liliane).


                                        


"Tous les juifs sont exclus de la nationalité française."